(TICpharma) – Chez les personnes qui se plaignent de la qualité de leur sommeil, les objets connectés grand public dits « trackers » ne semblent pas suffisamment fiables pour étudier l’architecture du sommeil, diagnostiquer des troubles et suivre des patients, selon une étude présentée fin novembre au Congrès du sommeil, coorganisé à Lille par la Société française de médecine et de recherche du sommeil (SFRMS) et la Société de pneumologie de langue française (SPLF)… [Lire la suite]