(Le Monde – Réalités Biomédicale – Marc Gozlan) Deux études indépendantes, espagnole et italienne, rapportent, chez un homme ayant des relations avec des hommes, une co-infection par le virus monkeypox (improprement dénommée « variole du singe ») et d’autres agents infectieux. L’équipe espagnole a publié le 23 août 2022, sous forme de preprint sur le site Research Square, le cas d’un individu de 56 ans ayant des relations avec des hommes. Cet homme, VIH négatif, est sous PrEP (prophylaxie pré-exposition). Utilisée avant un rapport sexuel à risque, la PrEP permet d’empêcher la contamination par le virus du sida (VIH).… [Lire la suite]